La Finale France du Superkart se joue à Dijon
La 3e manche du Championnat de France associée à la Coupe de France se déroule sur le Circuit de Dijon-Prenois les 12 & 13 juillet. Cette épreuve revêt un enjeu majeur, puisqu’il s’agit de la finale du Championnat. En effet, le Championnat de Superkart a été recentré sur peu d’épreuves en France cette saison.
L’épreuve s’inscrit cette année à Dijon au programme du
TTE (Midjet1300, Proto, etc.). La Coupe pour sa part est réservée aux
concurrents utilisant du matériel non homologué par la FIA-CIK. Il restera un
ultime challenge dans la discipline avec l’Eurosuperkart qui comprend une
dernière épreuve à Assen aux Pays-Bas en août.
Les têtes d’affiche.
La confrontation pour la victoire devrait impliquer deux
Germaniques : Le quadruple champion de France et triple champion d’Europe,
l’Allemand Peter Elkmann (Anderson/VM) a qui le titre devrait revenir à nouveau
face à son rival Andreas Jost (Anderson/VM) à qui le tracé. reussit toujours.
Celui-ci a enfin conquis le titre 2018. Il a du malheureusement déclaré
forfait lors de l’épreuve précédente anhilihant ses chances de conserrver sa
couronne. Dijon est son circuit fétiche, il y a régulièrement performé depuis
sa 1re victoire de 2014, comme encore l’an passé, ce qui laisse
augurer de ce combat des chefs. Deux Français feront figure d’attractions à des
titres divers ; En premier lieu, Alexandre Sébastia (Anderson/DEA),
dernier champion de France tricolore. Il a été très performant à Nogaro
mi-juin. Malheureusement, il a du retard en points au général cette saison mais
il aura à cœur de reprendre une place plus en rapport avec ses performances
chronomètriques. D’autre part, le Franc-Comtois Nelson Bondier (MSkart/VM),
pilote de kart traditionnel (Champion de France Long-Circuit) a découvet le
Superkart à Dijon l’an passé pour une participation unique. Fait rarisime il est
parvenu a réaliser un podium pour sa première apparition. Fort de cette
expérience, le néophyte va tenter de récidiver.
Les participants qui jouent le classement
Au-delà des trois premiers pilotes cités, les forces en présence se sont ressérées cette saison. Parmi les pilotes pouvant s’extraire de la meute, il faut compter sur le Colombien Jaime Zuleta (MSkart/VM) qui tire remarquablement son épingle du jeu en 2019. Il est actuellement 2e au classement provisoire et leader d’un nouveau Trophée réservé aux « Gentleman ». Si les habituels Britanniques ont lâché le Championnat, un de leurs compatriotes Jason Dredge a décidé du chemin inverse en rejoignant cette compétition. Double podium à la 1re manche, une casse moteur assortie d’une belle remontée en juin, il est celui qu’il faut suivre avec attention. Il vise lègitimement le podium final. Le Suédois Ingvar Bjerge (Anderson/FPE) a crée la surprise à Nogaro, il pourrait s’immiscer parmi les Français les plus réguliers aux avant-postes comme le pilote de l’ASK Chalon/Saône Johan Lamalle (MSkart/VM) ou le Francilien Christophe Grenier (MSkart/VM). Références chronomètriques. La discipline emprunte un des circuits les plus rapides pour ces engins de 100 chevaux. En 2019, Peter Elkman a réalisé en qualification un chrono de 1’14’’329’’’ établissant un nouveau record. La précédente marque datait de 2016 (1’14’’815).
Info Pôle Presse FFSA / Photo Mediasuperkart